Je vais saisir la vie que je suis censé avoir, au lieu d’attendre qu’elle vienne

Raconte nous ton histoire (minimum 15 lignes) où sous forme d’anecdotes (10/12).
1 Je suis issu d'une fratrie de trois enfants où je me trouve être celui du milieu, je suis né à New York, dans cette ville qui ne dort jamais. Mes parent sont milliardaire, un business familial établie sur des générations. On peut dire que leur mariage n'était pas réellement fait d'amour à l'époque, mais ils ont appris à avoir des sentiments l'un pour l'autre. 2 Mon enfance fut rose et bien sûr j'étais un de ces enfants privilégiés, très tôt ma mère m'appris les valeurs familiale et que dans le monde il y avait des gens qui n'avaient pas tous ce que j'avais. J'appris à partager et à donner. Je m'entendais vraiment très bien avec mon frère aîné de trois ans de plus que moi et ma petite soeur avec qui je n'avais que deux ans d'écart. On se devait cependant d'être des enfants modèles, notre père était plus strict sur l'image de la famille, aucun écart était possible. 3 Je savais mon parcours professionnel tout tracé, je serais amené à rejoindre l'entreprise familiale tout comme mon frère, j'aurais pu dérogé à la règle si quand j'eu vingt ans un drame épouvantable n'avait pas frapper ma famille. Mon frère aîné se suicida, pris dans les méandres de la dépression, des médicaments et de l'alcool... il ne supporta pas cette vie. Il laissa une lettre d'au revoir expliquant son geste, mais cela n'était pas suffisant et ne le serait jamais. Je fus brisé par sa disparition comme le reste de ma famille, et c'est ce qui couta le mariage de mes parents. 4 Mes parents divorcèrent deux ans après, cependant ils s'entendirent toujours aussi bien et restèrent associé dans les affaires, étrange vous me direz, mais c'était préférable au vu de comment ils s'étaient déchiré à la mort de leur fils aîné. Quand à moi je me mis à fond dans mes études, je me savais héritier direct à présent. 5 Je bâti une image naturelle et simple de ma personne, le drame de ma famille avait bien sûr fait la une des médias et beaucoup après avait manipulé cela à leur guise faisant du mal à ma famille toute entière. Et c'est moi qui avait mis fin à tout cela, montrant ma position et ma fermeté. J'eu vingt cinq ans et j'avais déjà un pas dans le business familiale, on m'appris tout sur le tas malgré mes diplômes. 6 Homme charmant, gendre idéal, don juan des temps moderne, Homme aux multiples conquêtes... c'est ce qu'on pouvait lire sur les tabloïds me concernant, seulement la réalité était tout autre. J'étais un homme d'affaires bien occupé, et mes relations se succédaient car les femmes avec qui je pensais pouvoir créer quelques choses partaient d'elle-même. J'eu des relations avec diverses personnalités, dont même Brooke Davis (à présent Baker). Je n'étais pas un don juan, mais je cherchais juste la femme de ma vie. 7 On peut dire que je suis croyant, je crois en dieu et je suis sûr que c'est lui qui m'a permis de bien évolué dans ma vie et de surmonté la mort de mon frère. Grâce à lui, la plupart de mes profits sont donner à des associations et des collectivités afin de les aider à accomplir leurs projets. Je ne cherche pas à être ce bon samaritain, j'applique ce qu'on m'a appris et donner me fait plaisir. Voir des sourires me réchauffe le coeur, et je pense à mon frère disparu... Cela comble ce vide. 8 J'obtins une place rapidement haut placé dans l'entreprise familiale, j'étais devenu un des PDG et les responsabilités étaient grande. Toute fois dans un coin de ma tête je gardais comme projet de faire la politique, cela m'avait toujours passionné. 9 Il y a deux ans mon coeur me fit comprendre que j'avais trouvé la bonne personne, notre rencontre était fortuite alors que j'étais en voyage d'affaire et elle, elle exerçait une profession qu'on aurait pointé du doigt et crié au scandale. Je savais aussi le risque de me voir en sa présence, au vu des médias. J'en avais que faire finalement, car je voyais au delà de ce boulot d'Escort qu'elle faisait et de l'image qu'elle semblait vouloir se donner. Elle chercha à me manipuler et je ne l'accepta pas, montrant que j'étais là pour elle et non pour ce qu'elle pouvait me donner. Le temps fit son oeuvre pour qu'elle accepte que j'étais sincère dans ma démarche. J'avais des sentiments pour Rachel, et peut importe ses travers et son passé j'étais prêt à tout accepter. Peut être que dans le fond, la voir dans cet enfer me faisait penser à mon frère que je n'avais pas pu sauver et je me devais de l'aider. Avec de la patiente, Rachel m'ouvrit son coeur et on se laissa quand même un an avant d'entamer une vraie histoire, notre histoire. Une histoire que ma famille n'accepta pas, et je mis un point d'honneur à leur faire comprendre que c'était mon choix. Je me fâchais même avec mon paternel, et cela fait un an que nous nous parlons plus. Ma mère elle est un peu plus souple, ne voulant pas perdre un deuxième fils, quant à ma soeur elle essaie d'accepter Rachel, mais elle a du mal aussi. 10 Notre histoire resta secrète, je voulais la protéger des tabloïds et je savais très bien ce qu'elle avait vécu par le passé avec les médias, tout cela était d'un commun accord. Nous retournions à New York pour essayer de vivre la vie que nous voulions, mais on se rendit bien vite compte que New York n'était pas fait pour nous, nous voulions quelques choses de plus simple et tranquille. J'avais pendant des années eu un train de vie à 100 à l'heure et je cherchais enfin à avoir un peu de répit. Elle me proposait de partir pour Tree Hill, cette ville qu'elle connaissait bien et l'idée m'emballa fortement, surtout en sachant que je pouvais gérer mes affaires de loin et même mettre mon projet politique en route, pourquoi pas devenir maire ? Avant de partir je décidais de sauter le pas, je savais que Rachel était la femme de ma vie. J'avais 40 ans, j'en avais marre d'attendre... je la demandais donc en mariage. Elle accepta cette demande et nous voilà en route pour Tree Hill, pour cette nouvelle vie qui s'offre à nous. Pour autant je sais que rien n'est simple, Rachel a ses peurs que je tente tout le temps de calmer et moi j'ai tout aussi mes craintes et blessure, même si elle ne sont pas autant prononcé. Je lui montre sans cesse ma pitrerie et ma douceur, car elle le mérite et c'est ce que je suis.